14 novembre 2008
Meurtre fou de Grenoble: il faut raison garder.
Ce que je mets au premier plan dans ce drame, c'est la perte. Celle subie par les parents de la victime, par ceux ou celles qui l'aimaient, ses collègues, ses amis, ses maîtres, tous ceux qui avaient mis sur lui leurs espoirs. Je ne vois qu'un facteur,...